Aujourd’hui je vais vous montrer en détail les réglages pour bien configurer Streamlabs OBS dans ce tutoriel avancé. Pourquoi avancé ? Parce que l’objectif de ce tuto n’est pas de vous montrer comment créer une scène en ajoutant des sources mais plutôt de vous expliquer en détail les paramètres de Streamlabs OBS et à quoi ils servent. Ça vous permettra de proposer un flux et donc un stream de bonne qualité pour vos viewers.

Avant de commencer, si vous voulez un tuto équivalent pour OBS, sachez qu’une vidéo est dispo sur la chaîne. Pour ce tutoriel avancé, direction Streamlabs OBS (après l’avoir téléchargé et installé)… Encore une fois, on va surtout s’intéresser aux paramètres, donc on passera certains points plus rapidement que d’autres et s’attardera surtout sur les menus qui vont nous servir à régler notre stream. Cela dit je vous invite tout de même à tout parcourir, à tout regarder, c’est toujours sympa de s’intéresser un minimum aux logiciels qu’on utilise.

Premier élément quand on lance SLOBS, la barre de gauche dans laquelle on trouve des boutons :

  • Éditeur : c’est tout simplement là où vous pouvez créer vos scènes et ajouter vos sources, c’est vraiment la base.
  • Alertbox Library : c’est la bibliothèque d’alertes où vous pouvez choisir des alertes pour votre stream, il en existe quelques unes gratuites, pour les autres il vous faut un abonnement Streamlabs Prime. Et sinon, il existe aussi une méthode à l’ancienne qui est de personnaliser soi-même ses alertes, ça se fait aussi hein.
  • Thèmes : même top que pour les alertes, il y en a des gratuits, d’autres qui nécessitent un abo Prime, on passe rapidement là c’est juste pour vous montrer que ça existe.
  • Boutique d’applications : les apps nécessitent un abo Streamlabs Prime, et donc si vous en avez un, vous pouvez installer des appli sympa, vous les retrouverez ensuite en dessous du bouton de la boutique. Notez que si vous voulez supprimer une appli, ce n’est pas très intuitif mais il faut cliquer sur son profil et là vous pourrez les désinstaller.
  • Tableau de bord : vous renvoie sur votre dashboard sur le site Streamlabs.
  • Cloudbot : vous renvoie sur la page Cloudbot sur le site Streamlabs, Cloudbot étant je le rappelle un bot pour votre chat, qui fait la même chose que Wizebot, Nighbot, Moobot, etc.
  • Éditeur de disposition : vous permet de personnaliser l’apparence de l’éditeur, vous pouvez ajouter un mini feed avec vos derniers followers par exemple, pratique.
  • Mode Studio : l’activer permet de faire des modifications sur une scène qui ne seront pas visible sur votre stream tant que vous n’avez pas fait de transition, c’est comme sur OBS çà.
  • Obtenir de l’aide : lien vers la FAQ sur le site Streamlabs.
  • Paramètres : là ça sera le gros morceau de ce tutoriel, c’est là où on fera les réglages pour le stream, on va y venir…
  • La petite flèche, qui sera à gauche ou à droite en fonction de votre choix dans le menu Apparence des Paramètres, et qui permet d’afficher votre chat Twitch, à condition bien sûr que vous soyez connecté avec votre compte, on y reviendra.

Tout en bas, vous avez l’indicateur de performances, en cliquant sur les petites barres vous ouvrez une fenêtre et là vous pouvez choisir ce que vous voulez afficher : % d’utilisation du CPU, le frame rate de sortie, le nombre d’images perdues, le débit… À côté de ça vous avez l’icône des notifications, cliquez dessus pour afficher les notifications et avertissements liés à votre stream, sachant que ce notifications sont réglables dans les Paramètres.

Enfin dernière astuce avant de passer aux Paramètres, dans le dock Table de mixage, si vous cliquez sur la roue crantée vous affichez les Paramètres audio avancées, c’est là que vous pouvez activer la surveillance audio pour avoir le retour de vos alertes dans le casque par exemple.

Alors, ces fameux Paramètres… Déjà, notez que vous allez pouvoir vous loguer avec votre compte Twitch, Youtube ou Facebook en cliquant en bas à gauche de la fenêtre des paramètres, on en a parlé vite fait avant et je vous invite à le faire car ça vous facilitera la vie.

Menu Général

Un élément intéressant ici c’est la case « Désactiver l’accélération matérielle », elle est décochée par défaut et normalement vous n’en avez pas besoin, mais si jamais vous avec des problèmes de black screen (écran noir) ou de performances de SLOBS, ça peut être une option à envisager. Le reste, je vous laisse le soin de lire, ce n’est pas important pour les réglages du stream.

Juste une petite astuce concernant l’alignement des sources, par défaut c’est réglé de telle sorte que quand vous déplacez une source, elle va se coller sur les bords du canevas ou à une source adjacente, vous pouvez laisser comme ça et si jamais vous voulez placer une source de façon plus précise, ils vous suffira de rester appuyé sur la touche Ctrl de votre clavier.

Menu Stream

Vous pouvez lier directement votre compte Twitch ici, ça sera plus simple pour la configuration, sinon vous pouvez le faire à l’ancienne en cliquant sur « Stream vers une acquisition personnalisée », et là il faudra définir vous-même le service, le serveur et ajouter votre clé de stream (que vous trouvez dans les paramètres de votre chaîne Twitch par exemple). Le serveur, vous pouvez laisser sur Auto, ne le changez que si vous avez des problèmes de connexion au service et dans ce cas, choisissez le serveur le plus proche de vous géographiquement.

Si vous avez lié plusieurs comptes comme c’est mon cas ici, au moment de lancer le stream il vous sera demandé de choisir une plateforme, vous pouvez d’ailleurs aussi modifier le titre de votre stream et le jeu.

Menu Sortie

Là d’office vous pouvez choisir le mode Avancé, ça permettra d’avoir plus d’options, puis vérifiez que vous êtes bien dans l’onglet Streaming.

  • Audio Track. C’est la piste audio que vous voulez associer à votre stream, par défaut c’est la numéro 1, et normalement quand vous ajoutez une source audio, elle envoie systématiquement sur toutes les pistes, donc pas besoin d’y toucher, on laisse sur 1.
  • Encoder. Vous avez plusieurs options, ça dépend de votre matériel. De base vous aurez systématiquement le x264, qui va utiliser le processeur pour encoder.
    • Si vous avez une carte graphique Nvidia, vous aurez accès au Nvenc et au Nvenc (New) qui a été introduit avec les RTX 2000. Quelle que soit votre carte graphique, prenez le Nvenc (New), si vous avez une carte RTX 2000 vous aurez un gain de qualité et l’encodeur sera plus efficace, et si vous avez avez une carte plus ancienne, vous n’aurez pas de gain de qualité MAIS vous bénéficierez quand même de l’optimisation de l’encodeur, donc plus aucune raison d’utiliser l’ancien Nvenc, qui au passage n’existe plus sur OBS Studio, c’est bien la preuve qu’il est obsolète.
    • Si vous avez un processeur Intel, normalement vous avez aussi le choix de QuickSync, qui fonctionne pas mal est peut être une solution alternative.
    • Et si vous avez une carte graphique AMD, c’est possible que vous ayez accès à l’encodeur AMD, mais je vous déconseille son utilisation car ses performances ne sont pas au niveau des autres encodeurs.
  • Enforce streaming service encoder settings. C’est une option qui va forcer les paramètres d’encodage de votre plateforme de streaming, par exemple si vous streamez sur Twitch, ça forcera un bitrate max à 6000, que vous ne pourrez pas dépasser, etc. Personnellement je décoche la case car je préfère entrer les valeurs recommandées à la main, valeurs recommandées que vous pouvez bien entendu retrouver pour chaque plateforme : Twitch, Youtube, Facebook Gaming, etc.
  • Rescale Output. Permet de redimensionner la vidéo en sortie, aucun intérêt puisqu’on a déjà défini cette valeur avec l’option Résolution de sortie dans le menu Vidéo, qu’on verra juste après. L’option a un intérêt uniquement dans certains cas quand on enregistre et streame en même temps par exemple, sinon on ne l’utilise pas, donc à laisser décoché.
  • Contrôle du débit. On laisse sur CBR, ça veut dire que l’encodage se fera avec un débit constant. Dans les autres choix on a le CQP, le CRF et le format Sans perte qui ne nous intéressent pas pour le streaming, ils ont un intérêt pour l’enregistrement mais ça va utiliser un bitrate conséquent et sortie un fichier énorme, donc on oublie pour le streaming.
    Alors en théorie le VBR est plus qualitatif que le CBR puisque le débit sera variable en fonction de ce qui est affiché à l’image, tout en restant dans une enveloppe qu’on aura définie, mais s’il est possible de streamer en VBR, ce n’est pas recommandé par Twitch par exemple et ça pourra rendre le stream instable, donc on reste sur le CBR.
  • Débit. Alors là, grosse question, j’ai fait une vidéo entière dédiée au bitrate, donc on ne va pas s’étendre sur le sujet aujourd’hui, et je vous invite à aller voir la vidéo pour plus d’informations. Sachez juste que chaque plateforme recommande son propre débit et a aussi un débit maxi autorisé, donc là vous pouvez vous renseigner en fonction de la plateforme que vous utilisez.
  • Utiliser une taille de tampon personnalisée. Sur le principe c’est une option intéressante mais en réalité elle l’est peu pour la diffusion / pour le streaming, c’est la raison pour laquelle je ne vais pas la détailler. On va donc décocher l’option et passer à la suivante.
  • Intervalle d’image-clé. C’est le temps durant lequel une image-clé, autrement dit une image de référence, sera conservée en mémoire puis réutilisée en modifiant uniquement ce qui change sur les images suivantes. L’idéal, c’est d’entrer la valeur recommandée par votre plateforme de streaming. 2 secondes, par exemple, est la valeur qui est recommandée par pas mal de plateformes de streaming (dont Twitch).
  • Pré-réglages.
    • Si vous utilisez le x264 : vous pourrez choisir un pré-réglage (preset) allant de ultrafast à placebo. Plus on descend dans la liste des presets, meilleur sera le rendu final, mais en contrepartie l’encodeur aura besoin de davantage de puissance. Autant le dire tout de suite, vous pouvez oublier les 4 derniers presets pour du streaming, parce que même si à la limite le preset slow est faisable avec une machine récente, dédiée et un CPU très haut de gamme, le rapport entre le rendu final et le surcoût que ça engendre (que ce soit en terme de coût du processeur ou de ressources pour l’encodeur), ce rapport-là est ridicule. Si vous le voulez et que vous le pouvez, le preset medium est un très bon choix, cela dit il vous faudra quand même un CPU à 6 voire 8 cœurs. Là encore il n’y a pas de pré-réglage universel pour les presets, donc ça sera en fonction de votre configuration, et si vous avez des problèmes de stabilité d’encodage, une des premières choses à faire est de baisser le preset. Mais pour démarrer, vous pouvez commencer avec le preset faster et le monter petit à petit en fonction des résultats que vous obtiendrez lors de vos tests.
    • Si vous utilisez Quick Sync, vous aurez le choix entre 3 possibilités de pré-réglages allant du plus qualitatif au plus rapide. Vous devriez pouvoir sélectionner le réglage favorisant la qualité sans trop de problèmes.
    • Si vous utilisez NVENC, même combat, vous pouvez normalement choisir le pré-réglage « Qualité maximale » sans problème pour un meilleur résultat final. Attention toutefois, si vous avez des pertes de frame rate dans vos jeux, baissez en Qualité tout court, car la Qualité max utilise deux passes d’encodage et sollicite davantage votre carte graphique.
  • Profile. Trois profils sont disponibles : baseline, main et high. Le profil high est celui qui correspond le mieux au streaming et à la haute définition. Il y a encore quelques années, tous les appareils, notamment les téléphones portables, pouvaient avoir des difficultés à décoder ce profil, mais en 2020 ce n’est plus vraiment le cas, donc vous pouvez choisir ce profil sans vergogne. Honnêtement, la différence sera quasiment imperceptible, donc préférez le profil main si vous voulez économiser un petit peu de ressources pour l’encodeur, sinon vous pouvez choisir le profil high sans problème.
  • Réglage fin (x264). Ce sont des pré-réglages qui vont jouer sur plusieurs paramètres de l’encodeur, là on entre dans le côté technique de l’encodeur, donc à moins que vous sachiez ce que vous faites, je ne vous conseille pas de modifier ces options-là. Ça très peu d’intérêt notamment pour le streaming, ça en a un peu plus si on veut faire de l’enregistrement, mais pour le streaming ça n’a pas trop d’intérêt.
  • Options x264. Là encore, vous pouvez ajouter vos paramètres personnalisés sous forme de ligne de commande. Vous pouvez oublier cette option.
  • Prédiction (Look-ahead) & Améliorations psycho-visuelles. Des options apparues avec le NVENC (new) et censées améliorer le rendu final, c’est très subtil et pas forcément utile. Vous pouvez les cocher si vous voulez, si vous avez trop de pertes de frames dans vos jeux, décochez ces options car elles utilisent des coeurs CUDA, qui sont les coeurs utilisés justement par les jeux.
  • GPU. Le numéro attribué à votre carte graphique, donc à moins que vous ayez plusieurs cartes graphiques et que vous vouliez en choisir une en particulier pour encoder, vous pouvez oublier cette ligne.
  • Nombre maximal de B-frames. Définit le nombres d’images qui seront utilisées et comparées pour afficher l’image actuelle. Là aussi c’est un petit peu technique, en théorie plus la valeur est haute, meilleur est le rendu mais plus il faudra de puissance pour encoder. On va rester entre 2 et 4, sachant que la valeur communément admise est plutôt 2.

On a bientôt terminé avec ce menu, simplement sachez que vous avez l’onglet Recording ou Enregistrement qui reprend à peu de choses prêt les éléments de l’onglet Streaming, juste la petite astuce ici c’est de choisir un format de sortie pour vos vidéos en .mkv, ça permettra de pouvoir lire le fichier même si votre enregistré est coupé. Conseil également, si vous voulez streamer et enregistrer en même temps, utiliser deux encodeurs différents pour éviter la surcharge, personnellement j’ai un PC dédié au stream et j’encode en x264 et j’enregistre avec Nvenc.

L’onglet Audio vous permet de définir également le débit audio, sachant qu’une valeur basique est de 160 kbps. Donc ce n’est pas la peine d’aller trop haut, d’autant que ce débit audio fera partie du débit final, qui correspondra au débit vidéo + débit audio.

Enfin l’onglet Replay Buffer permet d’activer et de régler le tampon de relecture, ça peut servir pour faire générer des replays sur les dernières secondes de votre stream, attention quand même car plus vous réglerez une durée élevée, plus il vous faudra de mémoire pour le tampon !

Donc là on a vu la plus grosse partie en ce qui concerne les réglages, la suite ça va être un peu plus tranquille.

Menu Audio

  • L’onglet Audio. Comme son nom l’indique, il va vous permettre de faire vos réglages de son, notamment sur la fréquence d’échantillonnage. Une préférence pour le 48 kHz, qui est légèrement plus qualitatif que le 44,1 kHz. Attention toutefois à bien attribuer la même valeur à vos périphériques audio dans les options de Windows, ça vous peut vous éviter quelques bugs de son.
  • Canaux. Stéréo, classique, no comment.
  • Périphériques. les périphériques par défaut sont normalement ceux que vous utiliserez, cependant il peut être nécessaire de forcer parfois un périphérique.

Menu Vidéo

  • Base (Canvas) Resolution : c’est la définition dans laquelle vous comptez jouer ou plus globalement la définition de votre écran:1920×1080, 2560×1440…
  • Output (Scaled) Resolution : c’est la définition dans laquelle sortira votre stream, réglez donc une valeur inférieure ou égale au Canvas. Vous pouvez aussi taper une valeur qui n’est pas pré-définie, comme 1600×900 par exemple et valider en appuyant sur Entrée.
  • Downscale Filter : c’est le filtrage de mise à l’échelle, i.e. le filtre qui sera utilisé pour redimensionner votre stream si les deux résolutions précédentes sont différentes. Si vos résolutions sont égales, ce réglage n’aura aucun impact, normal. En revanche si vous jouez en 1080p et streamez en 720p par exemple, il faudra choisir un filtre de mise à l’échelle. Dans la liste déroulante, du haut vers le bas, on va simplement aller du plus rapide au plus qualitatif. Donc oui, le Lanczos est le meilleur choix d’un point de vue qualitatif, en revanche, il nécessite un peu plus de ressources et va donc légèrement augmenter la charge de travail de l’encodeur. C’est très léger tant pour l’impact sur la consommation que sur le gain de qualité, donc le Lanczos ne devrait pas poser de problème.
  • FPS. Le fameux « frame rate »… Les valeurs les plus courantes sont de 30 et 60 fps, mais rien ne vous empêche de tester des valeurs du type 50 fps, ça se fait pour afin de réduire la charge sur l’encodeur encore une fois.

Pour les réglages du stream à proprement parler, c’est tout, les autres menus ne sont pas forcément utiles, donc on va les voir mais sans trop insister non plus.

Menu Touches de raccourci

Permet de définir des raccourcis clavier en tout genre : pour démarrer le stream, pour changer de scène… Pas grand-chose à dire ici.

Menu Avancé

À la limite celui-là peut nous intéresser un peu. Normalement les paramètres par défaut sont très bien, on va juste s’attarder sur quelques points :

  • Process priority : c‘est la priorité que va accorder votre processeur à l’exécution de Streamlabs OBS. Par défaut c’est sur Normal et a priori il n’y a pas besoin d’y toucher, mais si vous vous avez des problèmes de lag sur votre stream, vous pouvez favoriser SLOBS en mettant la priorité sur Above Normal. Mais bon, normalement pas besoin, ne faites ça que si vous avez des problèmes.
  • Dans la partie « Réseau », on a une case intéressante qui permet de modifier automatiquement le bitrate en cas de pertes de frames, donc si vous avec des soucis de fluidité sur votre live, ça peut être intéressant à tester, gardez simplement en tête que ça va diminuer le bitrate automatiquement en cas de besoin pour soulager l’encodeur, donc ça privilégiera la fluidité au détriment de la qualité.
  • Dans la partie « Sources », vous avez la case « Enable Brower Source Hardware Acceleration », qui permet donc d’activer l’accélération matérielle pour les sources navigateur. Si jamais votre PC n’est pas assez puissant et que vous utilisez des sources navigateur gourmandes, vous pouvez d’essayer de décocher cette option, ça se tente.

Menu Collection de scènes

Cette fonction est destinée aux concepteurs de superpositions, qui est la traduction des overlays en fait, donc on oublie ce menu.

Menu Notifications

C’est là où on active et où on règle les notifications et les avertissements quand il y a un problème d’encodage, tout simplement.

Menu Apparence

Pour modifier l’apparence générale de SLOBS en changeant le thème, on peut aussi choisir de passer le chat à droite, modifier la taille du texte.

Menu Commande à distance

Vous y trouverez le QR Code à scanner avec votre téléphone pour utiliser l’application Streamlabs, qui fait grosso modo office de Stream Deck ultra simplifié sur votre smartphone.

Menu Virtual Webcam

Ça c’est une fonction qui vous permet d’utiliser SLOBS comme une webcam, c’est à dire que si vous l’utilisez avec Zoom par exemple, eh bien au lieu d’avoir juste votre webcam, vos interlocuteurs auront carrément la scène OBS active. Cela nécessite une installation supplémentaire.

Menu Superposition de jeu

C’est pour afficher le chat et les évènement récentes (followers, Subs…) directement en surimpression sur votre écran, ça ne sera donc visible que par vous et pas par vos viewers. J’ai fait un tutoriel complet là-dessus pour ceux que ça intéresse et c’est vraiment pas mal pour ceux qui n’ont qu’un seul écran.

Menu Application installées

Répertorie les appli que vous avez installées sur SLOBS, vous pouvez les désactiver et je vous rappelle que pour les supprimer il faut aller dans la boutique d’appli, dans votre profil !

Et on a enfin terminé avec les Paramètres ! Du coup, maintenant qu’on a vu tout ça, il est temps de lancer votre premier stream ! Si vous voulez plus d’informations, plus de tutos, plus de conseils sur comment vous développer sur Twitch, n’hésitez pas à regarder les autres vidéos de la chaîne.

Si la vidéo vous a été utile, n’hésitez pas à laisser un petit pouce bleu aussi, à vous abonner à la chaîne et à activer la cloche, pour être au courant dès qu’une nouvelle vidéo sort ! Enfin, je vous rappelle que vous pouvez me retrouver sur Twitch régulièrement, lien dans la description, et que si vous avez des questions plus techniques, vous pouvez aussi rejoindre le serveur Discord Zero Absolu Gaming, lisez bien les règles pour déverrouiller la Section Aide Streaming et on fera le max pour vous répondre.